ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME
Alexander Kiriyatskiy:
ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME https://www.m310014.uqam.ca/PoesieFR.htm
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L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix-sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques des maux cosmiques au temps pour être vieux
Et l'on décède dans ce futur sans connexion des lieux.
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Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront le sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par nos derniers rapports.
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La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères,
Nos évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.
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Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l’ordre, la puissance
De leur donner l’union partielle
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Avec ses mondes d’Absolu…
Années, quatorze milliards! Dans
L’une de ces sphères, aviez voulu
Dire l’infini à un mutant
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De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l’ordre présent
Passé pour son prochain non lu.
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Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum... L’enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d’années, aux chances:
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Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
Où il n’existe pas danger de l'être qui menace
À l’harmonie, là-bas sa place domine surtout en face.
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Alors dix-sept mesures plus dures ont figuré le fond
Plus grand que ce même univers dans son petit neutron…
Ses opposés ne se battent pas, où tous ensemble n’ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.
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Milliard de fois, les quantités des forces dominaient
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l’énergie noire de nulle couche qui tente d’éloigner
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Ses électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Les galaxies disparaîtront.
L’obscurité énorme
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Fera éteindre nos étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l’abîme spatial
Qui nous approche des chutes,
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Où nos gravitations grosses luttent
Que l’unité soit maximale.
Son signe «minus» casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l’un idéal
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Que notre astre dorme
Des cinq milliards d’années au trône
De l’homme. Encore, comme l’orme,
Que se grandisse l’humaine personne.